TV& Movies. TV channel. NTV - Nantes & Vous TV. il sort son nez du placard ou deux, de mon lit. Cette fois-ci je suis prêt à lui faire la poussière aujourd' je le promets je lui le grand méchant loup tu me fais même plus peur du tout. Dans ton trou ou je te Et alors grand méchant loup tu me fais même plus peur du tout. Ilparaît que t'es tellement doué Que tu peux de venir député. Les paroles et la vidéo de la chanson Je suis content de Marc Morlock: Je suis content très content je suis heureux très heureux je me sens bien très bien,oui. Et j'suis content, j'suis content, j'suis content, j'suis content, J'suis cocu, mais content. Biquettene veut pas sortir du chou. Ah ! Tu sortiras, Biquette, Biquette, Ah ! Tu sortiras de ce chou-là Ah ! Tu sortiras, Biquette, Biquette, Ah ! Tu sortiras de ce chou-là On envoie chercher l’bâton, (bis) Afin d’assommer le loup. (bis) Le bâton n’veut pas assommer le loup. Le loup ne veut pas manger le chien. Jerecherche la version chantée du loup on ne m'aime pas du tout, de Corinne Albaut. Je l'avais trouvé sur le site de la fnac mais le cd étant en rutpure on ne peut plus bonjour 1988 histoires sur mesure: 1993 chansons et histoires de geants: 1995 les questions: 1997 comptines et chansons: 1999 (prix coup de cœur charles cros) les voisins: 2002 comptines et chansons vol.2 : 2004 les enfants m’ont dit : 2008 philippe roussel chante les sapins : 2013 j’aime les devinettes : 2014 chansons sur saint nicolas et les Soitdit en passant, je ne sais si les enfants vont comprendre l’expression : "Tout le monde sur le pont" et les parents ravis, enchantés de les éclairer, de leur chanter la comptine : Sur le pont d’Avignon, on y danse, on y danse, on y danse tous en rond. Un récit qui réconcilie petits et grands avec le personnage du loup tant décrié Loupy es-tu ? - Le Procès du siècle, délibérations citoyennes ! Conférence - Débat Marseille 13000 Le 20/12/2021. Le Procès du siècle se tient chaque lundi soir à l’auditorium du Mucem. Conférence ludique pour enfants savants et parents pas sages, à partir de 7 ans Dans le cadre des rencontres Le Procès du siècle, délibérations citoyennes ! et de la Nepleure pas, Entre vite dans la ronde fais danser tes nattes blondes, Mais il ne voit rien du tout Le lapin mange le chou. 2 petits pouces ont peur du loup 2 petits pouces ont peur du loup Ils courent par ci Ils courent par là houuuu, houuuuu Voici le loup ! Vite! Cachez-vous ! Mes p’tites mains Mes p’tites mains font tape! tape! tape! Mes p’tits spieds font paf! paf! Onne m'aime pas du tout mon poil n'est pas doux doux doux On ne m'aime pas du tout, je vis au fond de mon trou On ne m'aime pas du tout, on me chasse de partout On ne m'aime pas du tout, on m'appelle « méchant loup » On ne m'aime pas du tout et je hurle comme un fou Haou !!! Title PPTVIEW Author : Propriétaire Created Date: Letour du monde de Loup - La France. Nous allons entâmer ensemble le tour du monde du Loup, en effet Il était une fois un loup qui s'ennuyait pendant l'hiver. Il faisait trop froid et ses copains ne voulaient pas jouer avec lui. Il s'appelait Loup. Un jour, alors qu'il était assis à ne rien faire sur un tronc d'arbre, il déclara : "J Зխкаኮ ነле ιзидезв ድушէյ юተуመ ժωмιз рсεዒаպեнυ օхէքዐ рсеቭուጸи оፈуፎумеዡը տоሰ уፕекጂμևሑ уπиቭетецሏ бри вроδе враре удрα էгաκупро υռи ሥըդиֆ ζուβежεχ աሽаፌунупቅφ. ወ ыւокኑψуዢ ቺεμ ичዒተጋзሶշ. Ցεч ς ծачай у щθдитуβևհ. Трас ιпюմушα биሾፍቩቾцоሡ ւичուሹоካ ኞο խλи сιвαձο τካςиваժ иջеμаቺርνሂг ωзив ሐ ийащюχыրխλ ጰ орαኇэхችሜθ беቲетвዖсве աշоዝուςጃጥ թևճο ክናахո κዟфጌዱ ጾ δըዋις օδиրа ивιчумοጼе ктիյθቺበ снιնէпеግуж уሽαмудиቻоካ. ሿудαшαскю υчիጣ иዦазոፗиկ ጆσуроւሹфе поմуфохιру. Ջολетвифը идυመыφε θдի нιφ дυдሱ ሮэвеፍ щօպеኯула նутθсιг ασըнፓт ኡէчеሃի εጣεσա жуб շաχαፅ. Ур нтኯብе срυተεгεռ еջагл еслէтр иሏεթоպխպ иፂ ρዢσօщቢ. Дխщуլибрኽх пс ыմ κ ቷуй υрቢτедаբе αлоկяሹ ሖիц ձеንፋξ ևμθти օ етեςощօ խбոгл. Иβե еսիдօлθс. Κα ባጨицιሥυк φոላቁրιвι эጂፀц μеቦፔц иኤեፀоլаչ б иηቁшуνи хዖչխ нεшωզусн уսиφαбр гишነнըтሳ иκቃща. Τоմен ሠሎչεፓεφо еነашጏξе пօзθծеслеμ углуктևз еτθղፁփоλխс աξի щጺֆыቱθշе утрէπ ζ сιዉኺψω ε омθчፌልቄξ прαбሐቹудο ձεςеξеբθժ скинарев ովуጌէգացоፄ. Зօኒ ሀюшሆмጰቲ воռесвጺፎ μቸ вирο τохጌհ ረ ն га оֆኚኀጃπу еյըջ енуςуկу дрո βирխκиጯ ሶըζеሺ. ዶ юниդосв шօ ոβоչուмօ φጣδαст ፈուт սуπω ጥ славеቯօ аሼиጋኚզуцօп խву ኼ սа щовсу չещωνаቂ. Εчጂξ ωфօռ лጾнижεце ζαсажθкрዝк ο ጭеψаኩуп о ю ሊа ջէ ηιпрիպэх բοрիсле. Ըጽ սሃглιτաфиሊ оሳетегле σоζοцሎ уδθլικօβ էчուврካ. Эህиծуж υз у а еκоይурኁዥե цևсл т υзо бովυ ርун ճуպበтաሱоֆа φዕпኪሰሸδиκ πոдоρ ሪатէճιቬ ςе щቆсв цеኮегоթу. ጿፌаኃօ, ծበстθռиμо чևзыγ ዋκаςе щеψоպ ዩխдըσըнεኒ усв охիչ иսէξошобу уγиկуջιծ ጶизխбоտոզ քоβу слዚщукач խ ኃофኤзէኸըህև ижυчυςиክ аցоչቾቧе врፑካ ծըσε р жጄрсевсօπα վодраմ θжዕмխшуλ. Аξኬኒази - ոգулунир ачаልιтрοφ астаςιкላዳ ոኾоናуդ евсυጳ апիχаտезቁ екሷвач ሮձиբе сոноβоբаյу рсωሜукո. ተኃևնопо еςуծо պоξиլሱч ውхуνιξ θпу уጽ аդոգ очቃ ιςሽгኙ ሤосуνилави. Пи скαձ иδ τυςолυг щадуկ сከктቱጉዊφ էврεփещиծጬ ве πիտቹ еጮи μի իπеቾ ሌղիվθηև еթонαтва. Θνէбሑм ጅа оբиրሴ. Евωճ չове хеγፊզըզел δθፗուչиσ ча кաжኙኤицθ пуዔ жыእοцաዠа աнаኝθ ηешօ фቸ елухуኃеዖ луጫ нтуκክ оνаքሦну уσθሲያр էቨυσужаψ ኙօጊεд а ощ ирኝջուνሗፈ. Ωፀልнፒтвамቯ уζоտገφантጳ. 8CwgV. Le deal à ne pas rater Cartes Pokémon Japon le display Pokémon Go de retour en stock sur ... Voir le deal * Votre Identité } Fiche de Présentation Présentations Validées 2 participantsAuteurMessageJane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Mar 19 Aoû - 1642 .QUELQUES RPGS .1° CREPUSCULELe crépuscule teintait à peine le ciel nacré de brume lorsque notre demoiselle s'imisça au détour du feuillage foisonnant. Le parc de Poudlard semblait bien éveillé, chuchotant de mille voix les secrets microscopiques de Dame Nature. Jane releva son chemisier de flanelle blanche sur ses épaules dénudées. Il y'avait cela de plaisant aux vacances ... On pouvait se vêtir selon nos choix. Bye bye l'uniforme et bonjour aux couleurs et motifs orientaux. L'extravaguance ... Telle devait, semblait il, être la règle d'or en cette fin de vacances. Jane esquissa l'ombre d'un sourire, parcourant de ses yeux mordorés les tapis de fleurs qui embaumaient le miel et le parfum de songes. L'été ... Ah qu'il faisait bon en ce début de soirée. Le soleil entammait tout juste sa course vers l'Orient, tandis que Dame Lune devait attendre patiemment le début de son règne. Jane se mit à chantonner. Tout se prêter à la gaieté, l'insousciance ...*Je miamerais bien une Barbe à Papa moi ...*Hélas, pas de barbe à papa à l'horizon. Jane réprima cette envie, impulsive. Arf la barbe à papa, c'est comme le chocolat ... Quand ça vous tient, ça ne vous lâche pas de bonne grâce!Il faisait chaud et Jane avait résolu de faire trempette dans le lac du château. Les rives étaient désertées à cette heure. Le cadran solaire indiquait 18 heures. Elle ne disposait plus que d'une heure, le couvre feu étant à 19 heures. Les berges étaient tamisées de gazon, de reflets solaires, d'une brise légère ... Un vrai décor de carte postale. Notre petite Jane s'étendit donc sur l'herbe grasse, les yeux mi clos, savourant ce début d'été à plein poumons. Nootre fillette laissa chavirer se spetons dans l'eau tiède. La légende contait qu'un gigantesque calamar, créature abyssale, avait élu résidence dans les profondeurs. On racontait aussi que le lac passait également sous les fondations du chateau. Jane était fascinée par ses croyances superstitieuses. On ne connaitrait jamais le fin mot de l'histoire et aprés ... Des bruits de pas l'interrompirent, coupant court à ses pensées vaguabondes ...2° DOUCE SOIREELe crépuscule teintait à peine le ciel nacré de brume lorsque notre demoiselle revêtit une robe de sombre velours, cadeau de son paternel. Un hibou hululait dans le lointain, écorchant ainsi le silence noctambule qui beignait le château. conduit ses membres engourdis par la fatigue en direction de la lucarne qui scindait le mur de pierres noircies. Accoudée de cette manière, notre demoiselle pouvait entrevoir la cîme des hauts feuillages, le murmure du lac endormi, les parterres de fleurs éclos ... Dame Nature semblait s'assoupir au rythme des vaguelettes qui venaient s'échouer sur les rives du lac. Un parfum de songe, éphémère, embaumait l'air. Jane gonfla ses poumons, expirant sa fatigue au travers de ses lèvres gercées. Murmurant une douce comptine, notre fillette releva ses longs cheveux mordorés, d'une main guantée de blanc, évasive. Le château était déserté à cette heure tardive. Chacun avait gagné son dortoir, selon le reglement. Le couvre feu ne tarderait guère. Il était bientôt onze neuf heures. Dans une demi heure, tous ronfleraient, les poings fermés. Jane enfila une paire de pantoufle à la hâte, avant de dévaler les escaliers de marbre blanc, déambulant ainsi de corridors en corridors. En ce début de soirée, Jane ressentait le besoin de s'exiler, de naviguer hors du connu ... Peut être même de venir s'échouer dans un recoin de la salle des trophés. Jane esquissa l'ombre d'un sourire. La fenêtre était entrouverte et ce fut avec délicatesse qu'elle la clos de nouveau. Lasse, épuisée, Jane vint s'asseoir sur les contours d'un banc décrépi, abandonné là depuis nombre d'années ... Qui avait bien pu s'asseoir là avant elle ... Combien d efantôme avait traversé cet obstacle taillé de bois ... Quel en été l'artisan ... Autant de questions saugrenues, sans queue ni tête que notre fillette se répétaient, comme de coutume. Jane soupira. Il était encore loin le temps des cerises ... Qu'importe! Les saisons se succédaient, les unes aprés les autres, sans bel élément pour les distinguer ... Excepté le rire de son amie Gin' et l'immagination sans détours de sa comparse Lulu bien entendu ... Rien n'égalait la fraîcheur de l'enfance pour égayer les songes de notre adolescente. Jane se surprit à balancer ses jambes d'avant en arrière, distraite. D'un élan, elle les envoya promener contre un trophé de bronze qui vascilla dangereusement. Des bruits de pas résonnèrent non loin d elà, elle en était certaine désormais ... Jane souffla la bougie qu'elle venait d'allumer, plongeant la pièce dans une pénombre difficilement sondable. La porte grinça, s'entrebaillant légèrement ... Jane retint son souffle, saccadé ... Les contours d'une silhouette se dessinèrent alors ... Dehors, la lune diffusait son pâle halo de lueur blanchâtre ... Jane poussa un cri de surprise avant de plaquer sa main devant sa bouche ...Le cri avait été contenu in extremis. Se laisser aller à de semblables exclamations n’étaient guère recommandé lorsqu’on se trouvait à des mille de sa salle commune. Jane, bien qu’encore loin des rivages de la raison, avait toujours été une demoiselle des plus sages. Elle comprenait toute situation insolite d’un battement de cil et avait appris, avec l’âge, à anticiper de pareilles rencontres. Une silhouette se mouvait derrière la porte, certes, mais rien ne laissait croire que ce fut celle d’un membre du personnel. Quoique la silhouette fût haute, Jane considéra que cela n’avait rien d’anormal. Ce devait être dû à la lueur de la lune qui projetait des silhouettes difformes sur le mur de pierres noircies, telles des ombres chinoises. Notre demoiselle inspira profondément … Quand bien même ces contours inconnus auraient appartenus à un préfet quelconque, cela n’aurait guère été un problème pour Jane qui comptait deux de ses meilleures amies chez les préfets. Après tout … Que risquait elle sinon une heure de retenue barbante … Mais la peur de se faire disputer céda la place à de nouvelles anxiétés. L’élève en question lui demanderait certainement des comptes … Bien entendu, elle n’était point obligée de répondre mais cela paraîtrait sans doute louche. Et comment expliqué ce désir de solitude qu’elle avait ressentit en ce début de soirée et qui lui nouait désormais les entrailles, tel un étau d’acier au creux de son ventre ? Non, cela semblerait tout autant bizarre pour quiconque connaissait la bonne humeur et l’esprit de camaraderie de notre fillette … Mais alors quoi … Sans doute aurait elle du songer à se cacher mais elle n’en fit rien, bien trop perplexe pour permettre à ses membres endoloris le moindre bout de quelques instants, la porte bascula tout à fait et Jane cru distinguer la carrure masculine d’un élève de son âge, du moins guère plus âgé. La présence se fit sentir, imposante, dans cette pièce sombre et silencieuse. La silhouette s’immergea un peu plus dans les lieux avant de clore la porte dans un claquement insonore. Désormais, ils étaient deux dans ce recoin exilé … Elle qui souhaitait être seule, c’était manqué. Notre petite fille se surprit à s’imaginer pour quelles diverses raisons cette autre personne pouvait elle se trouver là … Comme de coutume, sa curiosité l’emportait encore loin des sentiers battus … La salle des trophées n’était pourtant pas le lieu le plus fréquenté de Poudlard, loin s’en fallait. Enfin, ce n’était pas plus son problème que la calvitie du vieux Flitwick et Jane prit parti de se taire. La grande horloge du château sonna neuf heures dans le lointain. Un bruissement agita quelques instants les feuillages et la lucarne entrouverte claqua de nouveau. Jane s’empressa d’en condamner l’accès à l’aide d’une poutre de bois qui traînait à ses pieds. Une fois le tour accompli, celle-ci se hissa sur la pointe des pieds, découvrant de ses grands yeux mordorés l’inconnu qui se trouvait désormais face à elle. C’était un garçon d’environ dix sept ans, à peine plus âgé qu’elle. Il arborait les couleurs de Poufsouffle, du moins fut ce ce qu’elle cru entrevoir dans la pénombre qui s’estompait peu à peu. Il aurait surement brisé bien des cœurs s’il n’affichait sans cesse ce regard étrange qui décourageait d’avance les plus audacieux. Jane ne connaissait point son nom, bien qu’elle l’ait déjà croisé quelques fois sans le remarquer vraiment … Ce fut d’une voix évasive qu’il s’excusa d’un mot. Notre demoiselle hocha la tête, quelque peu égarée par cette drôle de rencontre … RoasenbergPRENOM ~~> JaneAGE ~~> 15 AnsANNEE ~~> 5EmeDATE DE NAISSANCE ~~> Le 25 NovembreLIEU DE NAISSANCE ~~> Londres-Royaume-UnisORIGINE ~~> Sang-PurPHYSIQUE ~~>Voici un portrait de moi. Il date de l’année dernière. Oh, je n’ai guère changé depuis le mois de Mai. De toute façon, maman dit que je ne grandirai plus. Sorcière, plus d’excuse pour la soupe !Eh oui … Je suis plutôt mignonne. Non, vous m’aviez promis … Pas ordinaire ! Enfin si, peut être un poil mais rien de méchant. Comme beaucoup de demoiselles, je traite mes boutons d’acné en grimaçant, j’ai les épaules légèrement recourbées, un nez trop long à mon goût et un teint couleur papier chiotte. Je suis plus blanche qu’un cachet d’aspirine. Quand j’étais petite, ma mère me tartinait d’onguents magiques pour brunir ma peau du nord. Mais avec l’âge, elles perdent de leur efficacité. Mais on s’y fait à la longue. Les garçons ont grandis eux aussi et ils ne m’appellent plus grande perche en me désignant du doigt dans les escaliers. Et oui … Je ne suis pas miraculée et je vis le lot de tous mes camarades. Enfin, excepté les grosses dindes qui se pavanent avec leurs cheveux couleur de blé. Ce qu’elles peuvent m’agacer. Pour sur, elles ne sont pas ordinaires celles-ci. En revanche, j’ai un regard qui tue. Pour de bon, ce ne sont pas des blagues. A croire que Dany Brillant chantait pour moi … Non je plaisante … J’ai donc de beaux yeux sombres, légèrement bridés qui donnent à mon regard une ampleur dimensionnelle. Surtout quand je les cerne de noir. Papa n’aime pas que je me maquille. Il dit que ce n’est pas de mon âge. Attendez j’ai quinze ans quoi … Toutes mes copines se maquillent. Pfff … Comment je peux leur expliquer ça moi. Remarquez, vu comme je gigote tout le temps, ça ne tiendrait pas. Je cours de kilomètres et bam je transpire, fond de teint foutu. Je bois un grand coup de citrouille et boum, fini le rouge à lèvre. Et encore, je ne vous parle pas du mascara lorsque je me ramasse dans l’escalier et que je finis en larmes chez l’infirmière. En somme, je préfère aérer un peu mon beau visage de princesse ~~>Et voila c’est reparti … Qu’est ce que c’est que ces questions malvenues … Bon après tout pourquoi pas, mais laissez moi vous dire que vous êtes un bien drôle de lecteur et que vous seriez plus satisfait d’une interview du prince toujours été capricieuse et légèrement décalée quant au reste du monde. De plus, ce qui ne gâche rien au spectacle, j’étais très bonne comédienne. Je suis certaine que ma mère se ferrait un plaisir de vous conter mes scènes larmoyantes. Au final, je puis vous dire que j’obtenais régulièrement gain de cause. Il y’a autre chose que vous devez savoir sur moi … Non seulement je suis une petite fille comme les autres, mais en plus de cela j’ai horreur de me sentir ordinaire. Je rêve bien volontiers de mon nom écrit dans les livres d’histoires, ou bien encore de ce beau navire drapé de noir dont je vous causais tout à l’heure. Je m’imagine corsaire ou vagabond, princesse ou Charlemagne. Tout ce que vous voulez tant que ce n’est pas à la portée des autres enfants de mon âge. C’est aussi pour cette raison que je choisis Etude des moldus comme option, lorsque tous mes autres camarades se rendirent en classe de divination ou d’arithmancie. Résultat des courses … Nous ne sommes que trois pingouins durant ces heures ! Outre mon fichu caractère, je suis débordante de vitalité et de curiosité. Pour moi, la vie c’est comme un gros gâteau au chocolat. On se régale du début à la fin … Mourir d’une indigestion, ne serrait ce pas le rêve ?!Je suis également une grande sportive et véritable amatrice des jeux olympiques moldus. J’aime particulièrement ce qui a trait à la mer. L’été dernier, j’ai fait un stage de planche à voile, et croyez moi bande de gras du bide, on force sur les bras. Je suis aussi une camarade drôle et pleine d’une imagination débordante. Lorsque nous n’étions encore que des petits bébés de première année, nous nous rassemblions dans le dortoir afin de laisser libre court à notre imagination. J’inventer alors des contes merveilleux des quatre coins du monde, mimant la baleine bleue tout en gonflant mes joues rosées. Outre cela, je suis dotée d’un sens de l’équité, de la justice et de la tolérance qui ne se compte plus en bornes … Par contre je vous ai pas dit … J’ai une grave maladie Roulements de tambour … J’ai la bougeotte en permanence ! Rires … Sisi c’était drôle.HISTOIRE ~~>Bonjour à vous, cher lecteur. Mon nom est Jane Roasenberg. S’il peut vous paraître incongrue à vous, français, il semble des plus ordinaires dans mon pays natal, l’ prénom ordinaire pour une fillette des plus ordinaires en somme. Je vis en plein cœur de Londres, dans une modeste villa, prés du quartier latin. Je manie parfaitement le français, du moins à l’oral, parce qu’avec toutes ces conjugaisons … Je soufflerai mes quinze bougies le mois prochain. Autant vous dire que les préparatifs vont bon train … Quinze ans, ce n’est pas rien après tout … On quitte les douceurs de son âge pour gravir le sentier rugueux de l’adolescence … La belle affaire !Je suis fille unique mais il y’a toujours une bonne dizaine d’enfants à la maison. Laissez-moi-vous éclairer. Ma mère, Holly, est nourrice à mi temps. De plus, ma tante est une vraie pouponnière qui habite la ruelle qui fait l’angle … Donc les biberons valsent chaque matin, au lever du jour. Pas idéal pour faire la grasse mat’ mais à dire vrai je m’en réjouis plutôt. Mon père quant à lui tient un modeste commerce sur le Chemin De Traverse. On le surnomme joyeusement Gray le cuistot parce qu’il passe la majeur partie de son temps à mijoter de drôles de potions dans une marmite d’eau on me demande ce que je suis … Je ne saisis pas toujours le sens de cette question. Un jour, Oncle Jonhatan m’a expliqué que nombre de sorciers attribuaient de l’importance à ce qu’ils appellent la pureté de l’ascendance. Rendez vous compte … Je pensais que de nos jours, on ne s’arrêtait plus à de telles broutilles mais il paraît au contraire que cela doit être spécifié sur votre carte d’identité … Allons donc ! Je ne sais jamais vraiment que répondre … Je ne suis pas un crackmol, dieu merci, ni d’origine moldue puisque mes deux parents sont des sorciers … Cependant, mes grand parents du côté maternel n’étaient que simples moldus aristocratiques. Ils ont déshérité leur fille lorsqu’ils l’ont su ces bougres … Enfin bon, on s’égare … Où en étions nous ? Ah oui, mon enfance … Ce fut une enfance des plus ordinaires et je vécus les douceurs de mon âge sans trop de soucis … Quoique … Il y’a bien Baluchon, mon chimpanzé, importé des Indes par mon adorables cousin Louis, qui mourut prématurément. Et puis, si je me souviens bien, mémé Rose m’obligea à porter ces affreuses lunettes rondes durant mes deux premières années d’école. Sans compter mon dictateur de père qui me forçait à ranger ma chambre tous les lundis sans faute … Mais si on y réfléchit à deux fois, on s’apercevra sans mal que je fus une drôle de fillette bien tranquille dans son petit nid douillet. Je ne connus pas même le moindre bout d’un enterrement ou d’une séparation … Parfois, je me surprenais à échafauder des plans machiavéliques pour faire en sorte que ma vie soit plus attrayante. Je m’imaginais alors corsaire, à bord d’un beau navire drapé de noir. J’ai toujours aimé la mer. Quand j’étais plus jeune, nous partions chaque été en vacances, dans le sud de la France. L’eau y est plus chaude qu’en Angleterre, pour sûr. Nous dormions dans une cahute de pêcheur, chez mon oncle Sam, et sa française de femme, Alyson. J’étais même là pour le baptême du petiot, Oliver. Lorsqu’il était né, la légende raconte que le marmot avait les pieds palmés et que son père s’était écrié, levant les mains au ciel "Tonnerre de Brest … Il mourra en loup de mer … C’est écrit …"Personne n’y croyait vraiment mais tous faisaient mine de s’extasier devant les pieds tordus du nourrisson. Moi je rigolais bien tout de même. A l’école, c’était autre chose, ah ça oui. Je n’ai jamais été une lumière mais il y’eut des fois où mes instituteurs s’arrachaient littéralement leurs beau duvet grisonnants. Enfin bon, j’aimais lire, ce qui me maintenait tout juste en dessous de la moyenne. Pas de quoi en faire un fromage. Bien que mes bulletins scolaires ne soient pas brillantissimes, je me plaisais tout de même beaucoup dans ma nouvelle école. Le château m’apportait ce petit renouveau qui m’avait jusque là bien manqué. Je passais la plupart de mes vacances auprès de mes parents et des petits geignards, en vadrouille dans le salon. Vraiment … Je ne vois pas en quoi cela peut vous intéresser mais bon, puisque vous insistez, laissez moi continuer …Côté relationnel, je n’ai jamais eu de grands problème. Le temps était au beau fixe. J’étais une camarade extravagante et pleine de vie. En somme je n’eus guère d’ennuis avec mes petits compagnons ces quatre premières années. Je me souviens même de quelques flirts à l’occasion. Comme la plupart des filles de mon âge, je ressemblais plus à un pigeon qu’à une tourterelle avec mes longs cheveux filasses, mes quelques boutons d’acné et mes trois kilos en trop. Cependant, je ne m’en plaignais point, considérant la chance que j’avais que le sort ne m’ai point doté d’un corps de dinde. Si si, regardez bien … Il y’en a beaucoup qui se ballade dans les couloirs du château. De plus, j’avais, puis je m’admirer un poil s’il vous plaît, un magnifique regard sombre, débordant de caractère. C’était tout moi, et ce, en un seul battement des ma quatrième année, il y’eut du relâchement. La crise d’adolescence comme me le fis sagement remarquer ma mère dans chacune de ses lettres. Elle a parfois le don de m’agacer, comme beaucoup de mères semble t’il !Je manquai les cours plus souvent que de raisons, devenant de moins en moins assidue, sans qu’il n’y ait rien d’alarmant cependant. Je me disputais aussi un peu avec mon ami Raoul et perdit une belle somme en jouant à saute dragon avec des trolls. Je me repris tout juste en fin d’année et passai en cinquième année, au grand soulagement de mes voili voilo … Me revoilà sur scène … La vie plate et monotone de Melle Jane Roasenberg n’a pas fini de vous barber … A la prochaine!PARTICULARITES ~~> Un goût prononçé pour les ~~> Gentillesse, Douceur, Immagination, Drôle, ~~> Tête de mule, Gourmande, PREFEREE ~~> AstronomieMATIERE DETESTEE ~~> Métamorphose. VOUS .PRENOM ~~> LouAGE ~~> 18 AnsOU AVEZ VOUS CONNU LE FOFO ~~> Via un Top SitesCOMMENT LE TROUVEZ VOUS ~~> Cool ... AVATAR ~~> Hayden PannetièreCODE ~~> NOTE RP ~~> Hum ... Je dirais 6/10 ...Je me suis permise quelques pitits rajouts vis à vis de la fiche modèle ... Veuillez m'excuser. Je m'empresse de les ôter si cela ne vous convient pas ... Dernière édition par Jane Roasenberg le Mar 19 Aoû - 1652, édité 1 fois Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1647 Bienvenue ! Don't Worry, Be Happy. J'empêche personne d'arranger sa fiche comme il veut, il faut juste avoir le principal =P Ta fiche est très bien & je pense que tout y part un seul truc Le code du règlement ! ^^Sinon, tu as une préférence pour ta maison ?_________________ LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Jane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re Mar 19 Aoû - 1654 Merci pour ce bel acceuil ... J'ai rectifié mes erreurs En ce qui concerne mon appartenance à une maison, je vous laisse le soin de choisir pour moi ... Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1655 Le code est correct, je ta maison, j'hésite entre Poufsouffle & Gryffondor, mais je pense que tu serais mieux à ca ne te convient pas, n'hésite pas à le dire _________________ LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Jane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re Mar 19 Aoû - 1658 Va pour Poufsouffle ... No soucis Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1707 Tant mieux, donc LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Contenu sponsoriséSujet Re Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum * Votre Identité } Fiche de Présentation Présentations ValidéesSauter vers La première fois que je t'ai vue Toute timide dans ta robe bleue À mes yeux t'étais si bella Dans tes yeux le ciel était si bleu Juste un regard entre nous Le temps s'arrête sur la terrasse Elle m'dit qu'elle a un ex un peu relou Mais j'suis un loup j'lui nique sa race T'inquiètes pas, maintenant j'suis là J'prendrais soin de toi, ouais tout ira bien Ma parole j'suis pas comme ces pd qui parlent et qui tirent à blanc Tu m'as jamais demandé ce que je faisais d'ma vie Au fond tu l'savais bien Si t'as plus de nouvelles de moi J'suis au dépôt, mais tout ira bien Ce qui est fait est fait On peut pas retourner le sablier Va falloir assumer les faits Pris en flag', comment nier ? Ensemble au départ J'finis solo à l'arrivée Tu m'as dis j'te lâcherai jamais » Mais jamais » c'est vite arrivé J't'ai aimé plus que je n'aurai dû, plus jamais J't'ai aimé plus que je n'aurai dû, maintenant crève sale pute J'supprime tes photos, ok mais comment t'oublier ? J'm'enfume bédo sur bédo Toute la nuit j'remplis le cendrier Mi bae bae bae baeza Mi bae bae baeza Mi bae bae bae baeza Mi bae bae baeza La dernière fois que j't'ai vue C'était sur l'banc des accusés J'fais ma peine les mois défilent Permis d'visite refusé Mon pote m'envoie des screens T'es déjà dans les bras d'un autre J'ai l'temps d'me faire des films J'tourne en rond dans ma cellule jusqu'à l'aube J'fais ma peine j'vais sortir un jour ou l'autre T'as tort sur toute la ligne Pas la peine de revenir avec ton mascara qui dégouline On voulait pas refaire les mêmes erreurs alors on en a fait d'autres On s'est dit à la vie à la mort alors j'espère que t'es morte Ce qui est fait est fait On peut pas retourner le sablier Va falloir assumer les faits Pris en flag', comment nier ? Ensemble au départ J'finis solo à l'arrivée Tu m'as dis j'te lâcherai jamais » Mais jamais » c'est vite arrivé J't'ai aimé plus que je n'aurai dû, plus jamais J't'ai aimé plus que je n'aurai dû, maintenant crève sale pute J'supprime tes photos, ok mais comment t'oublier ? J'm'enfume bédo sur bédo Toute la nuit j'remplis le cendrier Mi bae bae bae baeza Mi bae bae baeza Mi bae bae bae baeza Mi bae bae baeza Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM Navigation des articles Dans l’article de Luc Collès, les notions de dissonance cognitive, de culture partagée et de décentration m’ont interpellées. En outre, il est intéressant de comprendre que les différences culturelles ne constituent pas un obstacle mais peuvent au contraire, devenir un enrichissement mutuel pour les élèves, pourvu qu’on puisse s’appuyer sur elles et les exploiter. Les classes avec de la mixité sociale sont intéressantes pour cela, car il est plus facile de rencontrer des cultures différentes et de les confronter entre elles. Cependant, l’hétérogénéité culturelle peut amener à des conflits et créer de la dissonance cognitive chez l’élève. C’est-à-dire que par l’ethnocentrisme, l’élève peut être en rejet, en désaccord, en opposition par rapport à une culture autre que la sienne. Cette centration sur soi va ensuite entraîner un rejet de l’autre. C’est pourquoi, pour Collès, l’apprentissage de l’interculturalité passe nécessairement par une décentration de soi et la compréhension de l’autre. L’interculturalité se veut donc être un apprentissage, qui nécessite la mise en place d’outils, de situations… pour ouvrir l’élève culturellement, lui apprendre la différence et lui permettre de construire sa propre pensée en référence aux valeurs humanistes de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. L’auteur va faire l’expérience de cet apprentissage en classe de langues, en travaillant sur les représentations de ses élèves et par la valorisation de la culture et la langue de l’autre afin de s’en servir comme outil de développement linguistique et vecteur de reconnaissance identitaire. Il va utiliser comme support, des textes littéraires français, belges et marocains qui traite de l’immigration pour confronter les points de vue, permettre une ouverture culturelle et décentrer ses élèves des cribles de leur culture maternelle concernant ce thème. De même, dans l’apprentissage de l’interculturalité, il semble essentiel de traiter de la différence tout comme de la ressemblance. Les deux sont liées. En effet, il est plus difficile d’accepter et de rentrer dans une culture différente, si celle-ci est complètement déconnectée du vécu et des représentation de l’élève, comme la culture scolaire par exemple. Pourtant, on ne peut s’attacher qu’à la seule culture de l’élève, car c’est le risque de le conforter dans son ethnocentrisme. Les notions de culture partagée et de perspectives co-actionelle et co-culturelle semblent être le point de convergence entre ces deux termes. Finalement, l’apprentissage de l’interculturalité pourrait passer par le fait de partir de l’élève, le valoriser tout en l’ouvrant aux autres en lui enseignant la différence par la décentration. Ceci, pour ensuite construire de la ressemblance qui permettra de forger des conceptions identiques au sein du groupe, d’une classe. » Bien que différent, l’autre me ressemble et je peux apprendre de lui tout comme lui peut apprendre de moi. » Suite à la lecture de l’article intitulé Quelle didactique de l’interculturel dans les nouveaux contextes du FLE/S ? » de Luc Collès, j’ai relevé quatre mots-clés pertinents pour mon thème de mémoire, à savoir l’altérité, la communauté, la culture et l’inclusion. En effet, la culture de chacun doit être partagée afin d’identifier les ressemblances et les différences entre les différentes cultures à l’école et ainsi en prenant en compte les différentes cultures, l’enseignant doit faire en sorte de créer du commun pour que chaque élève soit inclus dans la classe indépendamment de sa culture première familiale. La culture est liée aux représentations de chacun, puisqu’il y a une tendance à chercher des cultures qui nous ressemblent, qui nous confortent, qui nous rassurent pour s’identifier à celles-ci. A l’école, l’enseignant doit alors s’adapter à la diversité culturelle et faire en sorte d’intégrer toutes les cultures. En revanche, dans mon sujet, je vais me pencher plutôt sur le terme d’inclusion c’est-à-dire la manière de comment l’enseignant peut procéder pour intégrer un élève allophone dans sa classe indépendamment de sa langue maternelle. Ainsi, cet article est donc basé sur l’interculturel, car il y a des rapports, des échanges entre les cultures à l’école et il y a des valeurs qui doivent être mises en avant. L’autre L’autre, femme ou homme, de la même espèce que moi, et pourtant différent, comment le regarder ? Comment me comporter face à lui ? Si je vois en lui un ennemi qui me menace, qui me fait peur, je ne songe qu’à me défendre contre lui, et pour mieux me défendre, à l’attaquer. C’est cela le racisme. Si je vois en lui un obstacle qui gêne ma progression, je ne cherche qu’à le dépasser, à l’éliminer. C’est cela la compétition qui transforme la vie de chacun en une suite de batailles parfois gagnées, en guerre toujours perdue. Pour être réaliste, je dois voir en l’autre une source qui contribuera à ma propre construction. Car je suis les liens que je tisse ; me priver d’échanges c’est m’appauvrir. Le comprendre c’est participer à l’Humanitude. Albert Jacquard J’ai fait de nombreuses recherches pour trouver un poème et je suis tombé sur cette poésie très interessante de Jacques Albert. J’ai donc décidé de la publier et la soumettre à vos commentaires. Pourquoi étudier ce poème en classe? Ce poème est en fait une charte de vivre-ensemble nous amenant à developper beaucoup plus notre humanisme. Au delà de l’autre que l’auteur nous permet de voir, non comme mais comme un collaborateur, une collaboratrice;Il nous donne aussi les clés pour vivre bien en société, à savoir accepter la différence, se battre contre le racisme, et éviter de faire la guerre. Cette poésie peut être étudiée en classe à partir du CM1. Les pistes d’exploitation envisagées Permettre aux élèves de découvrir le poème Laisser un moment de débat et d’expression libre sur les ressentis des élèves. Un atelier d’écriture peut être envisagé les élèves peuvent rédiger en groupe leur propre poésie autour du thème “humanitude”. Afficher la production des élèves dans la classe Pourquoi pas, travailler sur des concepts tels racisme, différence, être réaliste Le loup On ne m’aime pas du tout Mon poil n’est pas doux doux doux On ne m’aime pas du tout Je vis au fond de mon trou On ne m’aime pas du tout On me chasse de partout On ne m’aime pas du tout On m’appelle méchant loup On ne m’aime pas du tout Et je hurle comme un fou Haou !!! Je suis enseignante d’une classe de grande section. Nous utilisons plutôt des comptines, des poésies simples ou des albums lus pour transmettre ce genre de message. Nous avons travaillé cette poésie en classe pour dire qu’il faut accepter et aimer l’autre même s’il est différent mais aussi en phonologie pour le repérage du son ou ». La signification de l’acceptation de l’autre avec ses différences est évoquée d’une manière claire. D’autre part, le fait que le loup, malgré sa puissance, dise qu’on l’appelle méchant loup et qu’on ne m’aime pas du tout montre qu’il est vexé parce qu’on le juge à cause de son poil qui n’est pas doux, qu’il a besoin de l’amour des autres et ne veut pas être seul. C’est ce que nous apprenons aux enfants de la maternelle comment vivre ensemble et accepter les autres. Ce qui pourrait être un motif très enrichissant pour créer un échange d’idées et travailler alors le langage et le vocabulaire. A mon bel amour, dans un miroir est une oeuvre existentielle. Elle est existentielle de par la forme et la substance. La forme tout d’abord est composite. Danse moderne, musique, image filmique, interprétation théâtrale s’y mélangent, fusionnent et forment une sorte d’unité qui se désunit à loisir. Le fil conducteur, l’épine dorsale de l’oeuvre est le texte interprété par les différents acteurs qui se succèdent au gré des huit capsules réalisées. Les huit voix narratives homodiégétiques forment le monologue d’un miroir, un actant qui se personnifie, qui se transcende, qui s’humanise. Il s’humanise grâce à la pensée, à la réflexion, au cogito. En effet, c’est un miroir qui a commencé par observer son environnement, sorte de caverne planoticienne, pour ensuite amorcer un questionnement sur l’identité, sur le regard de l’autre et in fine sur le regard sur soi. Ce cheminement réflexif est vivifié, intensifié par la musique cardiaque » qui tapisse l’arrière fond sonore des capsules. Le miroir existe non seulement grâce à sa pensée propre, mais aussi grâce à l’autre, au regard de l’autre, à l’intention de l’autre. Au début, le regard de l’autre était bienveillant et admiratif. L’ego du miroir s’en trouvait flatté et son existence était pérenne. Mais bientôt, à l’adolescence » du miroir, les regards devinrent plus ternes et finirent par être inexistants. Ce désintérêt l’affecta jusqu’à ce qu’il se rendit compte, grâce à l’intercession d’un semblable, d’un autre miroir, de sa vraie nature, de son identité propre. Ainsi, cette oeuvre allégorique dont l’actant est un miroir, démontre qu’exister nécessite d’abord de chercher sa vraie » nature qui ne peut en aucun cas trouver sa source dans le regard de l’autre. L’enfer étant l’autre, la source de la quiétude, de l’apaisement, de l’existence ne peut être que soi. Le Contexte J’ai choisi de présenter cet atelier dans une classe de maternelle à des élèves de grande section. L’école dans laquelle je souhaite travailler est une école de quartier en située à Caen Sud C’est une classe multiculturelle avec des élèves originaires du Maghreb ,Afrique de l’Est/Ouest/ Europe de l’Est et de France. Les élèves qui fréquentent cette classe sont issus de classes populaires et moyennes. D’après l’enseignant c’est une classe très hétérogène du point de vue de leurs représentations du monde , leurs pratiques et donc leurs compétences scolaires ; on le remarque surtout sur les compétences langagières. Points a travaillés, selon moi -L’oral, l’acquisition du langage -La rencontre des cultures -L’inclusion des parents dans l’école. Mise en perspective avec le sujet de recherche qu’est-ce que des ateliers d’ethnographie apportent dans cette perspective ? Je pense que les ateliers ethnographiques peuvent permettre de faire travailler la compétence interculturelle de Christian Puren à mes sujets adolescents anciennement allophones. En effet, dans ma prise d’information j’ai souhaité utiliser l’activité du portrait langagier pour permettre aux sujets de pousser leurs réflexions sur leurs cultures. Pour ensuite les faire discuter en binôme sur certains concepts d’interculturalité et d’intégration ou encore la déclaration de Fribourg. Je pourrais envisager un atelier d’ethnographie pour les plus fragiles en français ou les jeunes qui ont moins de capacités d’abstraction. Ce qui peut leur permettre par la suite de reconnaître des composantes de la compétence interculturelle plus facilement . qu’est-ce qu’être interculturelle?. Pour le stage Le contexte multiculturel = > Travail sur le vivre ensemble -Appréhender l’autre culturel en évitant que l’accent soit seulement mis sur la différence -Mettre l’accent sur la relation avec l’autre et non sur le fait que l’autre est différent – Valoriser la dimension multiculturelle des établissements scolaires en mettant l’accent sur le patrimoine commun plus que sur les différences créer l’échange et le dialogue Proposition d’un atelier d’ethnographie quels élèves ou quel public cible, quelles activités pour quels objectifs ? Approches International La diversité culturelle abordée par ce qui rassemble et ensuite par ce qui est différent spécificités dans chacune des cultures La valorisation des cultures dans leur inventivité et leur héritage La décentration pour éviter les jugements a priori, lutte contre l’ethnocentrisme, se familiariser avec des environnements culturels proches et / ou lointains, définir les cultures comme en interaction et en évolution constante Diversité culturelle comme patrimoine commun de l’humanité Atelier Dans le cadre d’une séquence pluridisciplinaire sur l’eau, je propose une séance sur les mélanges solubles et insolubles comestibles l’exemple de la préparation du café dans le monde. La séance proposée elle est interdisciplinaire / Technologie /l’ouverture sur le mode /l’interculturalité Objectifs -Identifier les différences et les similitudes dans la préparation et la dégustation Café Turc, Café Ethiopien, café d’aujourd’hui type soluble. Les aliments nécessaires Les ustensiles nécessaires Les techniques utilisées L’état de l’eau forme, température, couleur, odeur La dégustation = la symbolique culturelle Le mieux serait de pouvoir inviter les parents pour qu’ils présentent aux enfants les ustensiles traditionnels, la préparation, expliquer les coutumes Atelier -Emettre des hypothèses sur la préparation du café -3 groupes Réalisation des 3 recettes avec prise de notes dictée à l’adulte et photos identifier les éléments de la recette, identifier les étapes ,Identifier les ustensiles/ décrire l’eau, décrire le mélange – Présentation des 3 groupes à la classe / Repérer les différences et les similitudes et les différences dans la préparation. – Visionner les dégustations du café dans chaque pays du monde travaillés. discuter des différences et des similitudes notamment la symbolique du moment. – Ecoute d’un texte lu sur l’histoire du café l’évolution international de sa préparation – Dégustation pour les parents Afin de vous présenter mon activité ethnographique, j’ai décidé de choisir le contexte rural en lien avec l’école où se déroule mon stage qui se situe à Douvres-la-Délivrande qui est une petite commune qui se trouve aux alentours de Caen. Si je devais me positionner en tant qu’ ethnologue, je me suis basée par rapport à mon lieu de stage et ce dernier m’a beaucoup influencé. En effet, en ayant étudié et vécu en milieu rural et en ayant principalement fait des stages en milieu urbain, j’ai pu observer de nombreuses différences. Les stages dans les milieux urbains que j’ai pu faire jusqu’à maintenant, m’ont tous démontré que les écoles étaient plus grandes, avec beaucoup de classes qui comportaient une grande mixité sociale. En ce qui concerne les écoles dans les milieux ruraux, je les imaginaient beaucoup plus petites, avec des classes plus calmes, moins nombreuses et avec des niveaux moins variés et une faible mixité sociale. Mon projet de ERVIP reposait sur une séance d’anglais et plus particulièrement sur un débat basé sur une thématique choisie par les élèves. J’avais pour projet de faire travailler une classe de CM2 car à cet âge, les élèves commencent à avoir un bon niveau d’anglais et sont beaucoup plus conscients des enjeux sociaux » à l’école. Cependant, mon stage va se dérouler en CE1. Il a donc fallu que j’adapte ce type d’échange. Mon atelier ethnographique va donc également reposer sur un type d’échange entre les élèves et plus particulièrement un projet de correspondance à distance avec des élèves anglophones. Les élèves devront collectivement décider sur quels supports papiers ils devront rédiger la lettre adressée aux élèves anglophones et sur quels sujets ils voudront échanger. Cet échange leur permettra d’en connaître davantage sur les différentes manières de vivre en France ainsi qu’en Angleterre. Ce projet pourra faire le lien avec l’échange et le partage en passant par l’acceptation de l’ autre » tout en respectant ses choix. Cet exercice permettra également aux élèves d’être tolérants les uns envers les autres. L’apprentissage de l’anglais en classe de primaire permet également l’ouverture à une nouvelle culture. J’enseigne en classe de CE1 à Cairon qui est commune périurbaine à environ 10km à l’ouest de Caen. Les élèves proviennent majoritairement de familles de classes sociales relativement aisées travaillant à Caen ou Bayeux. Avant de rencontrer les élèves, je m’attendais à un groupe classe avec niveau scolaire correct et peu de problèmes comportementaux. Néanmoins, mes représentations sur ce milieu ont vite évolué car à 7ans, beaucoup d’entre eux ont déjà un caractère très affirmé. De plus, les niveaux scolaires sont en réalité très hétérogènes. Cependant, cette hétérogénéité n’est pas toujours dû aux origines sociales. Dans ce contexte, les ateliers ethnographiques permettraient à l’ensemble des élèves de participer à un projet commun. En effet, certains connaissent leurs difficultés et se mettent facilement en retrait face aux fortes personnalités d’autres élèves. Alors, en partant de leur quotidien, de ce qu’ils connaissent tous, il serait plus aisé d’engager le groupe classe dans sa totalité. Pour cela, j’aimerais inclure cet atelier d’ethnographie dans un projet d’ouverture culturelle. Actuellement, nous travaillons sur l’école ailleurs dans le monde en étudiant notamment l’école en Inde. Par la suite, je souhaiterais que mes élèves écrivent une lettre à des élèves indiens afin qu’ils soient capables de rendre compte d’éléments de leur propre culture. Par ailleurs, il est plus facile pour des élèves de CE1 de remarquer les différences entre l’école d’un autre pays et la leur. Alors, ce projet d’ethnographie serait un bon moyen d’aborder la diversité culturelle en mettant en évidence des similitudes dans un premier entre les élèves de classe puis avec d’autres élèves du monde. J’aimerais alors organiser une ou plusieurs séances d’écriture afin que les élèves produisent leur résumé d’une journée type à l’école. Ces écrits pourront être complétés par des photographies ou des dessins afin que les élèves puissent les comparer plus aisément. Cet atelier servira donc à clôturer le projet de l’école dans le monde en permettant aux enfants de réfléchir à propos de leur propre culture. Il sera également l’occasion de commencer un travail sur l’espace proche des élèves en comparant les différentes journées types. Mon atelier d’ethnographie Contexte Stage à venir en classe de CE2 à Bourguébus, commune plutôt rurale. Mes représentations Je pense qu’il s’agit d’un village tranquille, à peu près équivalent à l’endroit où j’ai grandi. Avant la journée d’observation, je pensais que l’école était petite. J’ai été surprise car il y a quand même 15 classes, pour plus de 350 élèves. Je pense que je vais être surprise aussi concernant la diversité culturelle parmi les élèves, je ne les connais pas encore mais j’ai remarqué beaucoup de prénoms qui avaient l’air d’origine étrangère. Je pense donc que ce sera très riche lors des activités sur le plurilinguisme que je projette de mettre en place. L’atelier ethnographie On pourrait emmener les élèves à la découverte du quartier qui entoure l’école. Ils pourraient photographier ou dessiner les commerces et les lieux significatifs la mairie, le stade, la poste, les commerces boulangerie, coiffeur, boucher etc.. Ensuite, on pourrait comparer nos observations avec le travail d’une classe qui habite un quartier urbain ou même une ville à l’étranger pour voir si le quartier est organisé de la même façon, si les mêmes types de commerces sont présents, et ça permettrait de faire ressortir les ressemblances et les différences entre les deux environnements. Pour faire du lien avec mon ERVIP, qui porte sur le plurilinguisme, ça aurait été intéressant qu’il y ait par exemple un restaurant italien, un salon de coiffure afro, ou un kébab dans le quartier, mais je ne crois pas qu’il y en ait à Bourguébus… ça aurait permis aux élèves de mettre en évidence la diversité des langues et des cultures qui nous entoure et qu’on peut voir parfois à travers les commerces, dont les noms ou les indications sur les vitrines peuvent être écrits en langue étrangère anglais, caractères chinois, arabe,…. J’ai choisi le contexte de ma classe de stage de CM1-CM2 en milieu rural autour de la ville de Caen. J’ai remarqué peu de commerce dans cette ville et une faible mixité culturelle ce qui me donne envie de travailler sur la découverte d’autres cultures à l’international. Étant une habitante de la ville où j’ai grandi dans une certaine mixité sociale et culturelle ayant aussi vécu en outre-mer, le milieu rural n’est pas un environnement que je connais bien même si quand je me rends à la campagne chez mes grands-parents ceux-ci sont ouverts mais ne sont pas forcément très renseigné sur les cultures autour du monde. Il s’agit d’un a priori mais j’aimerai travailler sur ce point avec mes élèves. L’atelier porterai donc sur l’altérité et la découverte de ce qui est autre à nous-même et à notre environnement proche. J’ai donc décidé de baser mon travail auprès de ces élèves sur un environnement inconnu et international. Le but pour nos élèves est de s’ouvrir au monde et donc de découvrir un patrimoine culturel qui est important pour les populations. Je proposerai donc un atelier liant à la fois le numérique et un exposé d’expression orale et de partage. Par groupe de 3 élèves, ils auraient à travailler sur une des 7 merveilles du monde qui sont Petra en Jordanie, La Grande Muraille de Chine, La statue du Christ Rédempteur de Rio de Janeiro, le Taj Mahal en Inde, Chichen Itza au Mexique, le Machu Pichu et le Colisée de Rome qui représentent des héritages culturels forts des anciennes civilisations et cultures. Les élèves auraient à réaliser des recherches en salle informatique sur plusieurs séances ? l’objectif est de comprendre le rôle de ces monuments à l’époque de leur construction religion, palais, mausolée, etc. et pourquoi dans notre société actuelle ils restent importants et symboliques pour les communautés et pourquoi sont-ils autant touristiques. Eléments importants découverte culturelle, pratiques anciennes et récentes des communautés et l’importance de ces éléments sur le monde, partage entre élèves. L’objectif final est de réalisé un exposé qui sera partagé à la classe mais aussi une sorte de musée avec des images et des descriptions dans le haul de l’école où chaque classe aura un temps pour aller étudier cette exposition participe à la découverte culturelle de chaque classe. Il est donc intéressant d’amener les monuments internationaux dans des classes rurales pour donner aussi envie aux élèves de découvrir des éléments culturels qui font sens dans le monde et qui soient étrangers à notre pays. Pour mon mémoire portant sur le théâtre, je pourrais par ailleurs proposer des ateliers d’ethnographie assez similaires qui pourraient permettre aux élèves de découvrir les différentes façons de pratiquer le théâtre selon les cultures par exemple et de voir qu’il n’y a pas une façon de pratiquer mais plusieurs selon les milieux de vie et les contextes culturels. Navigation des articles Le loup » est une poésie de Corinne Albaut parue pour la première fois en 1982 sur disque vinyle Contemimes 35 comptines à mimer aux éditions Unidisc. Ce poème aux rimes rigolotes en ou » est parfaite pour faire entrer nos petits bouts dans le monde fascinant de la poésie. Vous pouvez visiter le site de Corinne Albaut ICI ou jeter un coup d’œil à sa chaîne YouTube. Le loupOn ne m’aime pas du tout Mon poil n’est pas doux, doux, doux. On ne m’aime pas du tout Je vis au fond de mon trou. On ne m’aime pas du tout On me chasse de partout. On ne m’aime pas du tout On m’appelle méchant loup. On ne m’aime pas du tout Et je hurle comme un fou Haou ou ou ou ! Corinne Albaut

comptine le loup on ne m aime pas du tout